• Avons-nous suffisamment mesuré l’importance de l’émergence actuelle de l’opinion des citoyens comme prochain pouvoir autant économique que politique ?
  • Comment faire comprendre aux fonctionnaires gouvernementaux responsables des services publics que ce n’est pas le citoyen qui est à leur service, mais que ce sont eux qui sont au service du citoyen ?
  • Peut-on comparer la vie virtuelle d’un internaute à la vie sociale d’un citoyen ? Le virtuel peut-il devenir un substitut au social?
  • Est-ce que les personnes non branchées (les 40 % d’analphabètes de base et fonctionnels) vont devenir les exclues de la société de demain? Y aura-t-il une importante fracture numérique citoyenne dans la future société de la connaissance ?
  • Est-ce que l’apprentissage des nouvelles plateformes numériques par un nombre de plus en plus importantd’utilisateurs qui prennent la parole impose une littératie ? Laquelle ?
  • Comment faire comprendre au citoyen comment l’information est organisée, comment il doit déterminer ses meilleures sources et utiliser celles-ci de manière critique ?
  • Est-ce que l’apparition de ces nouvelles interfaces plus visuelles et plus intuitives favorise l’émergence d’une volonté populaire de démocratisation? Si oui, à quelles conditions ?
  • Que penser d’une situation où des milliards d’internautes naviguent via des milliards de pages Web? Nous savons qu’une force de segmentation va créer des millions de niches. Est-ce que celles-ci susciteront un « Big data » encore plus important?
  • Maintenant que des milliers de machines « smart » divulguent de grandes quantités de détails sur nos activités, comment allons-nous protéger notre vie privée? Comment défendre son identité quand mille fragments de soi errent sur l’Internet? Que feront les promoteurs avec ces données?
  • Comment peut-on se doter d’une démocratie participative à partir de réseaux sociaux qui ne carburent actuellement qu’au « Je » ?
  • Comment les jeunes générations qui ont grandi sous l’empire de la télévision pourront réinventer des solidarités quand le conditionnement social télévisuel leur a répété sans cesse, depuis leur naissance, que l’individu prime sur tout ?
  • Pouvons-nous édifier des plans concernant le futur de notre société sans y associer les jeunes générations qui vont y vivre ?
  • Quelle peut-être notre identité sociétale à l’avenir s’il n’y a pas de transition intergénérationnelle ?
  • Les prises de parole citoyennes vont-elles rendre encore plus difficile la gérance de l’État par le gouvernement ? Menacées par l’Internet, les classes politiques vont-elles essayer d’en prendre le contrôle ?
  • La multiplication des niches va-t-elle favoriser l’essor du financement citoyen (le « crowdfunding») ?
  • Est-ce que la fracture numérique annonce une plus grande inégalité socio-économique ?
  • Quand allons-nous inviter les jeunes générations à la table des discussions ? Est-ce qu’on peut développer des consensus sociaux sans échanges intergénérationnels ?
  • Quel équilibre devra-t-on établir entre les droits individuels et les droits collectifs ?

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  • Avons-nous suffisamment mesuré l’importance de l’émergence actuelle de l’opinion des citoyens comme prochain pouvoir autant économique que politique ?
  • Comment faire comprendre aux fonctionnaires gouvernementaux responsables des services publics que ce n’est pas le citoyen qui est à leur service, mais que ce sont eux qui sont au service du citoyen ?
  • Peut-on comparer la vie virtuelle d’un internaute à la vie sociale d’un citoyen ? Le virtuel peut-il devenir un substitut au social?
  • Est-ce que les personnes non branchées (les 40 % d’analphabètes de base et fonctionnels) vont devenir les exclues de la société de demain? Y aura-t-il une importante fracture numérique citoyenne dans la future société de la connaissance ?
  • Est-ce que l’apprentissage des nouvelles plateformes numériques par un nombre de plus en plus importantd’utilisateurs qui prennent la parole impose une littératie ? Laquelle ?
  • Comment faire comprendre au citoyen comment l’information est organisée, comment il doit déterminer ses meilleures sources et utiliser celles-ci de manière critique ?
  • Est-ce que l’apparition de ces nouvelles interfaces plus visuelles et plus intuitives favorise l’émergence d’une volonté populaire de démocratisation? Si oui, à quelles conditions ?
  • Que penser d’une situation où des milliards d’internautes naviguent via des milliards de pages Web? Nous savons qu’une force de segmentation va créer des millions de niches. Est-ce que celles-ci susciteront un « Big data » encore plus important?
  • Maintenant que des milliers de machines « smart » divulguent de grandes quantités de détails sur nos activités, comment allons-nous protéger notre vie privée? Comment défendre son identité quand mille fragments de soi errent sur l’Internet? Que feront les promoteurs avec ces données?
  • Comment peut-on se doter d’une démocratie participative à partir de réseaux sociaux qui ne carburent actuellement qu’au « Je » ?
  • Comment les jeunes générations qui ont grandi sous l’empire de la télévision pourront réinventer des solidarités quand le conditionnement social télévisuel leur a répété sans cesse, depuis leur naissance, que l’individu prime sur tout ?
  • Pouvons-nous édifier des plans concernant le futur de notre société sans y associer les jeunes générations qui vont y vivre ?
  • Quelle peut-être notre identité sociétale à l’avenir s’il n’y a pas de transition intergénérationnelle ?
  • Les prises de parole citoyennes vont-elles rendre encore plus difficile la gérance de l’État par le gouvernement ? Menacées par l’Internet, les classes politiques vont-elles essayer d’en prendre le contrôle ?
  • La multiplication des niches va-t-elle favoriser l’essor du financement citoyen (le « crowdfunding») ?
  • Est-ce que la fracture numérique annonce une plus grande inégalité socio-économique ?
  • Quand allons-nous inviter les jeunes générations à la table des discussions ? Est-ce qu’on peut développer des consensus sociaux sans échanges intergénérationnels ?
  • Quel équilibre devra-t-on établir entre les droits individuels et les droits collectifs ?

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