• Quelle est la littératie exigée de tous les citoyens et quel est son prix individuel et sociétal (système scolaire) ?
  • Est-ce qu’une personne analphabète est un citoyen à part entière dans une société de la connaissance? Quel type d’interface interactive devra-t-on développer si entre 30 et 40 % des citoyens ont des difficultés à lire et à comprendre ensuite ce qu’ils ont lu?
  • Les pays qui ne peuvent financer leurs dépenses militaires classiques trop onéreuses, utiliseront-ils le numérique pour voler ce qu’ils ne peuvent développer ? Déjà, des attaques se font par milliers dans le domaine économique ; à quand un Pearl Harbor informatique?
  • Si les « maîtres du monde » d’il y a 60 ans étaient les gens d’Église, il y a 30 ans, les avocats, il y a 20 ans, les barons de la presse et il y a 10 ans, les banquiers, qui seront les prochains : les programmeurs ?
  • Pourrions-nous rédiger « Les nouvelles lois du numérique » sur le modèle des « Lois de la robotique » d’Isaac Asimov ?
  • Que va-t-il arriver quand, après 2020, la moitié des gens habitant la planète posséderont un téléphone ou une tablette smart ?
  • Comme le changement vient des jeunes, ne devrions-nous pas considérer le numérique comme partie intégrante du droit à l’éducation ?
  • On a tenté de répondre aux problèmes des recherches en mettant en chantier le Web sémantique, mais sans résultats concrets jusqu’à présent. Peut-être cette démarche est-elle incomplète : ne faudrait-il pas plutôt associer les approches sémantiques, schématiques et géoréférencées?
  • À cause de la multiplication des niches, ne devrions-nous pas plutôt développer en amont un traitement paramétrisé de l’information, c’est-à-dire avec ses quatre dimensions ?
  • Est-ce que les signaux numériques pourraient un jour devenir un bien public mondial ?
  • Est-ce que les architectures neurophoniques (utilisant des circuits imitant l’organisation neuronique du cerveau humain) serviront au développement des ordinateurs quantiques ? À quoi ressemblera la nouvelle génération d’algorithmes de recherches ?
  • Quelle nouvelle forme de pensée va surgir lors du passage des bits au qubits (c’est-à-dire vers l’architecture quantique) ? Va-t-on migrer vers les 2e et 3e niveaux d’intelligence ?
  • Les techniques de sérendipité et de questionnement catalytique (capables d’extraire des stratégies du Big data) deviendront-elles les nouveaux « Information seeking tools » ?
  • Est-ce que le « Long data » devient possible si nous utilisons la traçabilité et la transversabilité dans nos futures bases de données ?
  • Le terrorisme se traduira-t-il par une augmentation des fonds consacrés à l’industrie du renseignement ?
  • L’Internet des objets imposera-t-il une hypersonnalisation des données, deviendra-t-il un outil une d’espionnage économique et politique, c’est-à-dire un outil de surveillance ?
  • Quelle est la littératie exigée de tous les citoyens et quel est son prix individuel et sociétal (système scolaire) ?
  • Est-ce qu’une personne analphabète est un citoyen à part entière dans une société de la connaissance? Quel type d’interface interactive devra-t-on développer si entre 30 et 40 % des citoyens ont des difficultés à lire et à comprendre ensuite ce qu’ils ont lu?
  • Les pays qui ne peuvent financer leurs dépenses militaires classiques trop onéreuses, utiliseront-ils le numérique pour voler ce qu’ils ne peuvent développer ? Déjà, des attaques se font par milliers dans le domaine économique ; à quand un Pearl Harbor informatique?
  • Si les « maîtres du monde » d’il y a 60 ans étaient les gens d’Église, il y a 30 ans, les avocats, il y a 20 ans, les barons de la presse et il y a 10 ans, les banquiers, qui seront les prochains : les programmeurs ?
  • Pourrions-nous rédiger « Les nouvelles lois du numérique » sur le modèle des « Lois de la robotique » d’Isaac Asimov ?
  • Que va-t-il arriver quand, après 2020, la moitié des gens habitant la planète posséderont un téléphone ou une tablette smart ?
  • Comme le changement vient des jeunes, ne devrions-nous pas considérer le numérique comme partie intégrante du droit à l’éducation ?
  • On a tenté de répondre aux problèmes des recherches en mettant en chantier le Web sémantique, mais sans résultats concrets jusqu’à présent. Peut-être cette démarche est-elle incomplète : ne faudrait-il pas plutôt associer les approches sémantiques, schématiques et géoréférencées?
  • À cause de la multiplication des niches, ne devrions-nous pas plutôt développer en amont un traitement paramétrisé de l’information, c’est-à-dire avec ses quatre dimensions ?
  • Est-ce que les signaux numériques pourraient un jour devenir un bien public mondial ?
  • Est-ce que les architectures neurophoniques (utilisant des circuits imitant l’organisation neuronique du cerveau humain) serviront au développement des ordinateurs quantiques ? À quoi ressemblera la nouvelle génération d’algorithmes de recherches ?
  • Quelle nouvelle forme de pensée va surgir lors du passage des bits au qubits (c’est-à-dire vers l’architecture quantique) ? Va-t-on migrer vers les 2e et 3e niveaux d’intelligence ?
  • Les techniques de sérendipité et de questionnement catalytique (capables d’extraire des stratégies du Big data) deviendront-elles les nouveaux « Information seeking tools » ?
  • Est-ce que le « Long data » devient possible si nous utilisons la traçabilité et la transversabilité dans nos futures bases de données ?
  • Le terrorisme se traduira-t-il par une augmentation des fonds consacrés à l’industrie du renseignement ?
  • L’Internet des objets imposera-t-il une hypersonnalisation des données, deviendra-t-il un outil une d’espionnage économique et politique, c’est-à-dire un outil de surveillance ?