• Quel est le prix à payer lorsque nous confondons des opinions pour des informations ? La crédibilité des contenus ?
  • Comment allons-nous réussir l’industrialisation de l’information et réduire le Big data qui encombre actuellement nos réseaux ?
  • Si les dimensions du monde industriel furent l’espace et le temps, les dimensions de la société de la connaissance ne seront-elles pas le temps, l’espace ET l’information ?
  • Est-ce que notre cerveau s’habituera au papillonnage perpétuel qui caractérise les réseaux sociaux actuels ?
  • Si, durant l’ère industrielle, l’information fut surtout une question de stockage, durant l’ère postindustrielle, ne deviendra-t-elle pas une question de processus ?
  • La société va-t-elle se diviser entre Information haves et Information have-nots, ces derniers étant les analphabètes de base et fonctionnels ?
  • Est-ce que le tweet serait lié à la tradition orale, donc au facteur temps, tandis que le contenu écrit Web serait plutôt lié au facteur espace ? (Voir Harold Innis) ?
  • Les algorithmes des moteurs de recherche, qui reposent sur une loi du nombre développée par les entreprises privées, ne provoquent-ils pas des distorsions culturelles ?
  • Est-ce que c’est la circulation de tant d’informations non validées, qui mine actuellement la confiance des gens, qui créé la morosité ambiante ? Y a-t-il un problème de crédibilité des contenus à l’horizon ?
  • Si les contenus du Web se développent en quatre domaines différents (militaire, commercial, éducatif et social), allons-nous assister à un éclatement de celui-ci ?
  • Parce que le Net se finance de plus en plus grâce à une économie de la contribution imposée par les grands propriétaires, cela signale-t-il la fin du mythe de sa gratuité ?

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  • Quel est le prix à payer lorsque nous confondons des opinions pour des informations ? La crédibilité des contenus ?
  • Comment allons-nous réussir l’industrialisation de l’information et réduire le Big data qui encombre actuellement nos réseaux ?
  • Si les dimensions du monde industriel furent l’espace et le temps, les dimensions de la société de la connaissance ne seront-elles pas le temps, l’espace ET l’information ?
  • Est-ce que notre cerveau s’habituera au papillonnage perpétuel qui caractérise les réseaux sociaux actuels ?
  • Si, durant l’ère industrielle, l’information fut surtout une question de stockage, durant l’ère postindustrielle, ne deviendra-t-elle pas une question de processus ?
  • La société va-t-elle se diviser entre Information haves et Information have-nots, ces derniers étant les analphabètes de base et fonctionnels ?
  • Est-ce que le tweet serait lié à la tradition orale, donc au facteur temps, tandis que le contenu écrit Web serait plutôt lié au facteur espace ? (Voir Harold Innis) ?
  • Les algorithmes des moteurs de recherche, qui reposent sur une loi du nombre développée par les entreprises privées, ne provoquent-ils pas des distorsions culturelles ?
  • Est-ce que c’est la circulation de tant d’informations non validées, qui mine actuellement la confiance des gens, qui créé la morosité ambiante ? Y a-t-il un problème de crédibilité des contenus à l’horizon ?
  • Si les contenus du Web se développent en quatre domaines différents (militaire, commercial, éducatif et social), allons-nous assister à un éclatement de celui-ci ?
  • Parce que le Net se finance de plus en plus grâce à une économie de la contribution imposée par les grands propriétaires, cela signale-t-il la fin du mythe de sa gratuité ?

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