Le buzzword Smart Cities accompagne celui de Smart House. L’un et l’autre se situent aux deux extrémités du même éventail : les espaces de vie quotidienne.

Déjà, durant les années 50, ce domaine se développait sous le nom de domotique. Actuellement, il accompagne le fort courant de personnalisation véhiculé par la mondialisation économique. Les commerciaux prétendent To make you calmer, safer, richer and healthier. Ce qui veut dire qu’une industrie des Smart House App naît actuellement et qu’elle s’appuie sur l’émergence de l’Internet des objets ou de celui des appareils mobiles. Voici les empires qui veulent conquérir ce marché :

326

(Time, 7 juillet 2014)

Tous ces gadgets offrent un certain confort et sont développés autour de deux concepts : l’automation et la sécurité. Les promoteurs pensent que le citoyen sera éventuellement prêt à payer entre 5 $ et 50 $ par mois, tout dépendant de la fourchette des services retenus (établir un parallèle avec le Triple Play de la fourchette des infospectacles d’il y a dix ans). L’idée générale est de synchroniser tous ces nouveaux objets autour d’un téléphone intelligent ou d’une tablette, de façon à ce que la personne n’ait plus besoin de s’en occuper (chapitre 3, no 16).

Le schéma ci-dessous décrit une maison smart grâce un réseau Internet local qui contrôle la température, l’électricité, les éclairages, la porte d’entrée, etc., le tout grâce aux applications d’automation d’un téléphone cellulaire :

(Time magazine, 16 août 2013, p. 14)

(Time magazine, 16 août 2013, p. 14)

Voici quelques applications en développement :

  • un arroseur de gazon qui s’ajuste à la température extérieure ;
  • des panneaux solaires qui réduisent la facture de l’énergie ;
  • un système de climatisation qui anticipe le retour du propriétaire ;
  • un jardin ou des platebandes qui filtrent l’air ambiant ;
  • des portes qui réagissent à votre arrivée ;
  • un téléphone qui contrôle à distance tout ce qui s’allume ou s’éteint ;
  • une console de jeux qui fait la même chose ;
  • une tablette qui tient l’inventaire de la nourriture entreposée au congélateur ;
  • des murs à l’épreuve des ouragans (populaires dans certains États américains) ;
  • une machine à café personnalisée : une tasse à la fois, donc moins de gaspillage ;
  • une toilette automatique ;
  • un système de son qui se déclenche quand vous arrivez ;
  • un compteur qui vous avertit si vous prenez trop d’eau pour votre douche ;
  • une couche de plastique qui recouvre le dessus de l’armoire qui permet un meilleur nettoyage ;
  • une petite laveuse à linge (utilisant moins d’eau) ;
  • des arroseurs personnalisés pour certaines plantes aux besoins particuliers ;
  • une brosse à dents qui vérifie l’état de santé de l’intérieur de la bouche ;
  • des pots à fleurs qui tiennent compte de l’humidité ambiante ;
  • un bouton à la porte principale dont la caméra révèle qui se présente ;
  • un senseur qui révèle s’il y a du monoxyde de carbone (qui diffère de la fumée).

ETC.

Les revenus du divertissement à la maison seront, en 2017, de 14,78 milliards $, contre 13,5 milliards $ au box office. (Étude du Global Entertainment and Media Outlook, 2013-2017).

Celà nous permet d’entrevoir l’ensemble des services qui se connecteront éventuellement à ceux de la ville intelligente :
328
Smart City avec Smart House et Smart Grid (réseau électrique) :
329

Le buzzword Smart Cities accompagne celui de Smart House. L’un et l’autre se situent aux deux extrémités du même éventail : les espaces de vie quotidienne.

Déjà, durant les années 50, ce domaine se développait sous le nom de domotique. Actuellement, il accompagne le fort courant de personnalisation véhiculé par la mondialisation économique. Les commerciaux prétendent To make you calmer, safer, richer and healthier. Ce qui veut dire qu’une industrie des Smart House App naît actuellement et qu’elle s’appuie sur l’émergence de l’Internet des objets ou de celui des appareils mobiles. Voici les empires qui veulent conquérir ce marché :

326

(Time, 7 juillet 2014)

Tous ces gadgets offrent un certain confort et sont développés autour de deux concepts : l’automation et la sécurité. Les promoteurs pensent que le citoyen sera éventuellement prêt à payer entre 5 $ et 50 $ par mois, tout dépendant de la fourchette des services retenus (établir un parallèle avec le Triple Play de la fourchette des infospectacles d’il y a dix ans). L’idée générale est de synchroniser tous ces nouveaux objets autour d’un téléphone intelligent ou d’une tablette, de façon à ce que la personne n’ait plus besoin de s’en occuper (chapitre 3, no 16).

Le schéma ci-dessous décrit une maison smart grâce un réseau Internet local qui contrôle la température, l’électricité, les éclairages, la porte d’entrée, etc., le tout grâce aux applications d’automation d’un téléphone cellulaire :

(Time magazine, 16 août 2013, p. 14)

(Time magazine, 16 août 2013, p. 14)

Voici quelques applications en développement :

  • un arroseur de gazon qui s’ajuste à la température extérieure ;
  • des panneaux solaires qui réduisent la facture de l’énergie ;
  • un système de climatisation qui anticipe le retour du propriétaire ;
  • un jardin ou des platebandes qui filtrent l’air ambiant ;
  • des portes qui réagissent à votre arrivée ;
  • un téléphone qui contrôle à distance tout ce qui s’allume ou s’éteint ;
  • une console de jeux qui fait la même chose ;
  • une tablette qui tient l’inventaire de la nourriture entreposée au congélateur ;
  • des murs à l’épreuve des ouragans (populaires dans certains États américains) ;
  • une machine à café personnalisée : une tasse à la fois, donc moins de gaspillage ;
  • une toilette automatique ;
  • un système de son qui se déclenche quand vous arrivez ;
  • un compteur qui vous avertit si vous prenez trop d’eau pour votre douche ;
  • une couche de plastique qui recouvre le dessus de l’armoire qui permet un meilleur nettoyage ;
  • une petite laveuse à linge (utilisant moins d’eau) ;
  • des arroseurs personnalisés pour certaines plantes aux besoins particuliers ;
  • une brosse à dents qui vérifie l’état de santé de l’intérieur de la bouche ;
  • des pots à fleurs qui tiennent compte de l’humidité ambiante ;
  • un bouton à la porte principale dont la caméra révèle qui se présente ;
  • un senseur qui révèle s’il y a du monoxyde de carbone (qui diffère de la fumée).

ETC.

Les revenus du divertissement à la maison seront, en 2017, de 14,78 milliards $, contre 13,5 milliards $ au box office. (Étude du Global Entertainment and Media Outlook, 2013-2017).

Celà nous permet d’entrevoir l’ensemble des services qui se connecteront éventuellement à ceux de la ville intelligente :
328
Smart City avec Smart House et Smart Grid (réseau électrique) :
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