Depuis plusieurs millénaires, toutes les sociétés se sont développées parce qu’elles avaient accès à leurs informations, parce que leurs connaissances étaient dotées de pérennité, c’est-à-dire accessibles à long terme.

Avec l’arrivée d’Internet, la situation change, les supports numériques sont actuellement fragiles et instables. On découvre aujourd’hui qu’Internet est une épée à deux tranchants ; le numérique pourrait nous rendre amnésiques et bloquer notre futur développement :

Repères
Acces-2
Repères

1887 Cylindre de cire
1930 Carte perforée (80 colonnes)
1937 Microfilm
1950 Disque dur
1950 Disque musique (78 tours)
1952 Bande magnétique
1971 DisqClouduette (5 po.)
1978 CD
1995 DVD
2000 Microdrive (baladeur et caméra)
2008 Clé USB
2008 Cloud

Le big data

Depuis l’époque de la transition de l’an 2000 à 2010, le flot des données s’est tellement multiplié qu’il a fait surgir aujourd’hui le défi du Big data. Avec l’arrivée de cette informatique de masse, les internautes ont généré 145 milliards de courriels et demandé 4,5 millions de requêtes par jours en 2014. Or, nos administrateurs ont fait le pari du tout numérique en croyant que nos informations dureraient longtemps, ce qui n’est pas le cas. Avec l’âge, les bandes magnétiques deviennent capricieuses, les disques durs des serveurs doivent être renouvelés tous les deux ou trois ans, les disques vidéo ne sont plus fiables après une décennie, certaines versions de langages d’encodage disparaissent tandis qu’il n’y a même plus d’appareils pour lire certains microfilms. Etc.

Après 2020 (?)

Alors on commence a chercher de nouvelles solutions :

  • À court terme, développer des clouds dotés de codes correcteurs (chapitre 3).
  • À long terme, des chercheurs japonais cherchent un support plus stable et se sont tournés vers le quartz (Université de Kyoto, Laboratoire Hitachi, etc.).
  • À long terme, on veut remplacer le système binaire à deux états (0 et 1) par l’ADN ce code génétique qui en a quatre (ACTG), voir le European Bioinformatics Institute en Angleterre.

Depuis plusieurs millénaires, toutes les sociétés se sont développées parce qu’elles avaient accès à leurs informations, parce que leurs connaissances étaient dotées de pérennité, c’est-à-dire accessibles à long terme.

Avec l’arrivée d’Internet, la situation change, les supports numériques sont actuellement fragiles et instables. On découvre aujourd’hui qu’Internet est une épée à deux tranchants ; le numérique pourrait nous rendre amnésiques et bloquer notre futur développement :

Repères
Acces-2
Repères

1887 Cylindre de cire
1930 Carte perforée (80 colonnes)
1937 Microfilm
1950 Disque dur
1950 Disque musique (78 tours)
1952 Bande magnétique
1971 DisqClouduette (5 po.)
1978 CD
1995 DVD
2000 Microdrive (baladeur et caméra)
2008 Clé USB
2008 Cloud

Le big data

Depuis l’époque de la transition de l’an 2000 à 2010, le flot des données s’est tellement multiplié qu’il a fait surgir aujourd’hui le défi du Big data. Avec l’arrivée de cette informatique de masse, les internautes ont généré 145 milliards de courriels et demandé 4,5 millions de requêtes par jours en 2014. Or, nos administrateurs ont fait le pari du tout numérique en croyant que nos informations dureraient longtemps, ce qui n’est pas le cas. Avec l’âge, les bandes magnétiques deviennent capricieuses, les disques durs des serveurs doivent être renouvelés tous les deux ou trois ans, les disques vidéo ne sont plus fiables après une décennie, certaines versions de langages d’encodage disparaissent tandis qu’il n’y a même plus d’appareils pour lire certains microfilms. Etc.

Après 2020 (?)

Alors on commence a chercher de nouvelles solutions :

  • À court terme, développer des clouds dotés de codes correcteurs (chapitre 3).
  • À long terme, des chercheurs japonais cherchent un support plus stable et se sont tournés vers le quartz (Université de Kyoto, Laboratoire Hitachi, etc.).
  • À long terme, on veut remplacer le système binaire à deux états (0 et 1) par l’ADN ce code génétique qui en a quatre (ACTG), voir le European Bioinformatics Institute en Angleterre.