• Est-ce vrai que tout doit être gratuit sur le Web ? Dans le futur, au moins 30 % à 40 % des contenus devront être coûteux sous peine de faillite économique du système.
  • Est-ce que chaque utilisateur peut parler à tous les utilisateurs ? Il n’y a pas un grand public, mais plutôt une myriade de groupes d’intérêts ou de niches dans une langue parlée par seulement 3 % ou 4 % de l’ensemble des internautes (sauf pour l’anglais et le chinois, qui sont, chacun, parlés par 30 % de la population mondiale).
  • Est-ce que tous les contenus sont accessibles sur Internet ? Il existe des pans entiers de contenus qui demeureront toujours cachés ; actuellement, seulement 30 % des contenus sont accessibles.
  • Parce que le trafic d’Internet progresse plus vite que les revenus qu’il génère, on a créé un Internet à deux vitesses (c’est-à-dire qu’il n’y aurait plus de traitement égal pour tous les flux de données) ? Allons-nous créer une fracture numérique culturelle ?
  • Parce que le style de contenu semble être celui du « bazar », sommes-nous prêts à lire tous ces points de vue multiples ?
  • Ce système n’a pas de point central ni d’ailleurs de règles, parce qu’il a été créé dans un monde qui commençait à peine à changer : qu’en sera-t-il dans la société de la connaissance ? Qui va contrôler quoi ?
  • Est-ce que nous réalisons que toutes les attaques contre la vie privée vont exiger un nouvel équilibre entre vie privée et vie en société ?
  • Si l’Internet 2 et, surtout, le 3 vont nous faire vivre dans un environnement tapissé de caméras de surveillance, comment éviter ce Big Brother ?
  • Si le Web sémantique n’a pu tenir ses promesses, parce que trop axé sur le texte, pourrions-nous le combiner avec le Web schématique afin de le rendre assez intuitif pour une utilisation grand public ?
  • Qui va contrôler ces entrepôts de connaissances que sont les clouds, seulement le privé ?
  • Comment résoudre les graves problèmes de crédibilité des contenus non validés qui circulent en ce moment sur le Net ?
  • L’Internet va-t-il se balkaniser à la suite des opérations d’espionnage par la NSA américaine ?
  • Quelle littératie doit-on offrir au citoyen afin que celui-ci joue pleinement son rôle dans la société de la connaissance, en particulier dans la démocratie participative ? Quel sera le rôle du système scolaire ?
  • Comment les grands monopoles (Apple, Google, etc.) et les réseaux sociaux vont-ils survivre avec l’apparition des nouveaux usagers (+50 %) et de leurs nouveaux besoins ?
  • Les coûts d’implantation des futurs réseaux sont tels que seuls les géants de services pourront investir ; deviendront-ils les prochains maîtres du monde ?
  • Si l’Internet se fractionne en quatre Internets locaux (États-Unis, Europe, Russie et Chine) comment allons rebâtir sa coexistence planétaire ?
  • Le retour du contrôle des contenus par les propriétaires des Clouds signale-t-il un affaiblissement des marchés indépendants, c’est-à-dire du « Long tail » ?
  • Est-ce que les réseaux sociaux utilisés actuellement par les citoyens sont les mêmes que ceux utilisés par certaines forces politiques qui espionnent et répriment ces mêmes citoyens ?
  • Après leur étape militaire, les drones verront-ils leur étape civile ?
  • Quand utiliserons-nous les satellites sur basse orbite (LOS) pour développer le secteur de l’agriculture ?
  • Est-ce que l’apprentissage aux nouvelles TI de la part du grand public dépend des technologies de gamification ?
  • Quand la loi de Metcalfe remplacera-t-elle la loi de Moore ?
  • Est-ce bientôt la fin de la neutralité du Net ?
  • Est-ce qu’au lieu de devenir un système d’autocongratulation, les réseaux sociaux ne devraient-ils pas plutôt servir à développer de nouveaux rapports sociaux (c’est-à-dire connecter les citoyens entre eux).
  • Est-ce vrai que tout doit être gratuit sur le Web ? Dans le futur, au moins 30 % à 40 % des contenus devront être coûteux sous peine de faillite économique du système.
  • Est-ce que chaque utilisateur peut parler à tous les utilisateurs ? Il n’y a pas un grand public, mais plutôt une myriade de groupes d’intérêts ou de niches dans une langue parlée par seulement 3 % ou 4 % de l’ensemble des internautes (sauf pour l’anglais et le chinois, qui sont, chacun, parlés par 30 % de la population mondiale).
  • Est-ce que tous les contenus sont accessibles sur Internet ? Il existe des pans entiers de contenus qui demeureront toujours cachés ; actuellement, seulement 30 % des contenus sont accessibles.
  • Parce que le trafic d’Internet progresse plus vite que les revenus qu’il génère, on a créé un Internet à deux vitesses (c’est-à-dire qu’il n’y aurait plus de traitement égal pour tous les flux de données) ? Allons-nous créer une fracture numérique culturelle ?
  • Parce que le style de contenu semble être celui du « bazar », sommes-nous prêts à lire tous ces points de vue multiples ?
  • Ce système n’a pas de point central ni d’ailleurs de règles, parce qu’il a été créé dans un monde qui commençait à peine à changer : qu’en sera-t-il dans la société de la connaissance ? Qui va contrôler quoi ?
  • Est-ce que nous réalisons que toutes les attaques contre la vie privée vont exiger un nouvel équilibre entre vie privée et vie en société ?
  • Si l’Internet 2 et, surtout, le 3 vont nous faire vivre dans un environnement tapissé de caméras de surveillance, comment éviter ce Big Brother ?
  • Si le Web sémantique n’a pu tenir ses promesses, parce que trop axé sur le texte, pourrions-nous le combiner avec le Web schématique afin de le rendre assez intuitif pour une utilisation grand public ?
  • Qui va contrôler ces entrepôts de connaissances que sont les clouds, seulement le privé ?
  • Comment résoudre les graves problèmes de crédibilité des contenus non validés qui circulent en ce moment sur le Net ?
  • L’Internet va-t-il se balkaniser à la suite des opérations d’espionnage par la NSA américaine ?
  • Quelle littératie doit-on offrir au citoyen afin que celui-ci joue pleinement son rôle dans la société de la connaissance, en particulier dans la démocratie participative ? Quel sera le rôle du système scolaire ?
  • Comment les grands monopoles (Apple, Google, etc.) et les réseaux sociaux vont-ils survivre avec l’apparition des nouveaux usagers (+50 %) et de leurs nouveaux besoins ?
  • Les coûts d’implantation des futurs réseaux sont tels que seuls les géants de services pourront investir ; deviendront-ils les prochains maîtres du monde ?
  • Si l’Internet se fractionne en quatre Internets locaux (États-Unis, Europe, Russie et Chine) comment allons rebâtir sa coexistence planétaire ?
  • Le retour du contrôle des contenus par les propriétaires des Clouds signale-t-il un affaiblissement des marchés indépendants, c’est-à-dire du « Long tail » ?
  • Est-ce que les réseaux sociaux utilisés actuellement par les citoyens sont les mêmes que ceux utilisés par certaines forces politiques qui espionnent et répriment ces mêmes citoyens ?
  • Après leur étape militaire, les drones verront-ils leur étape civile ?
  • Quand utiliserons-nous les satellites sur basse orbite (LOS) pour développer le secteur de l’agriculture ?
  • Est-ce que l’apprentissage aux nouvelles TI de la part du grand public dépend des technologies de gamification ?
  • Quand la loi de Metcalfe remplacera-t-elle la loi de Moore ?
  • Est-ce bientôt la fin de la neutralité du Net ?
  • Est-ce qu’au lieu de devenir un système d’autocongratulation, les réseaux sociaux ne devraient-ils pas plutôt servir à développer de nouveaux rapports sociaux (c’est-à-dire connecter les citoyens entre eux).