J’ai eu la chance unique de me «frotter » à la vieille Europe (Paris, Londres, Prague, etc.), de me perdre dans des « trous noirs » culturels pour moi (New Delhi, Islamabad, etc.), de connaître l’euphorie de villes où on avait l’impression que tout était à développer (Dakar, Sao Paulo, Bogota, etc.), d’apprivoiser certaines villes mythiques (New York, Los Angeles, San Francisco, etc.) J’ai été émerveillé par tant de disparités qui annoncent le 21e siècle, mais ce qui m’a encore le plus frappé c’est la découverte d’un modèle commun à ce Nouveau Monde qui émerge.

Un Nouveau Monde

Nous venons de vivre, du moins en Amérique du Nord, une période de transition qui a duré de 2000 à 2010 ; nous vivons une rupture, même si tout le mode le nie.

Nous vivons trois révolutions : technologique (nouveaux réseaux), économique (nouveau modèle) et sociétale (nouvelle communication planétaire). Nous vivons un changement majeur : nous passons d’une société industrielle vers un Nouveau Monde qui pourrait devenir une société de la connaissance (chapitre 6, no 9).

Actuellement, tous les habitants de la planète sentent que quelque chose se prépare, mais quoi ? Aussi, désirent-ils un cadre capable de leur faire comprendre les changements en cours. La plupart ont perdu confiance dans leurs élites qui n’ont que le béton et le crédit comme réponses industrielles à des crises qui sont plutôt postindustrielles ; de leur côté, les jeunes sont « indignés » à cause de l’héritage qu’on leur propose et du chômage qu’on leur impose. On comprend mieux, maintenant, pourquoi la morosité a mis toute la planète à genoux :
350
Nous passons d’un monde newtonien à un monde einsteinien !

Voici un outil qui tente d’expliquer le Nouveau Monde qui émerge :
351

J’ai eu la chance unique de me «frotter » à la vieille Europe (Paris, Londres, Prague, etc.), de me perdre dans des « trous noirs » culturels pour moi (New Delhi, Islamabad, etc.), de connaître l’euphorie de villes où on avait l’impression que tout était à développer (Dakar, Sao Paulo, Bogota, etc.), d’apprivoiser certaines villes mythiques (New York, Los Angeles, San Francisco, etc.) J’ai été émerveillé par tant de disparités qui annoncent le 21e siècle, mais ce qui m’a encore le plus frappé c’est la découverte d’un modèle commun à ce Nouveau Monde qui émerge.

Un Nouveau Monde

Nous venons de vivre, du moins en Amérique du Nord, une période de transition qui a duré de 2000 à 2010 ; nous vivons une rupture, même si tout le mode le nie.

Nous vivons trois révolutions : technologique (nouveaux réseaux), économique (nouveau modèle) et sociétale (nouvelle communication planétaire). Nous vivons un changement majeur : nous passons d’une société industrielle vers un Nouveau Monde qui pourrait devenir une société de la connaissance (chapitre 6, no 9).

Actuellement, tous les habitants de la planète sentent que quelque chose se prépare, mais quoi ? Aussi, désirent-ils un cadre capable de leur faire comprendre les changements en cours. La plupart ont perdu confiance dans leurs élites qui n’ont que le béton et le crédit comme réponses industrielles à des crises qui sont plutôt postindustrielles ; de leur côté, les jeunes sont « indignés » à cause de l’héritage qu’on leur propose et du chômage qu’on leur impose. On comprend mieux, maintenant, pourquoi la morosité a mis toute la planète à genoux :
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Nous passons d’un monde newtonien à un monde einsteinien !

Voici un outil qui tente d’expliquer le Nouveau Monde qui émerge :
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