Une information est une granulation d’une connaissance.
C’est en replaçant les données dans leur contexte que l’être humain peut créer des informations et, en donnant un sens à celles-ci, développer ses connaissances.
La connaissance s’acquiert par l’expérience, tout le reste n’est que de l’information.
Albert Einstein
L’abondance des données ne conduit pas toujours à une meilleure connaissance s’il n’y a pas un travail de synthèse qui donne à l’information une nouvelle valeur ajoutée à chaque étape (schéma 5).
Vous avez du courriel !
L’opinion devient un quatrième pouvoir.
(Plusieurs pensent que c’est plutôt le cinquième pouvoir, car le quatrième serait les médias de masse, les trois premiers étant le législatif, l’exécutif et le judiciaire).

Schéma 4 : la chaîne de l’information
Cette chaîne comprend différentes étapes de recherche de pertinence :
- Lorsque contextualisées, les données deviennent des informations, puis des connaissances.
- Le processus peut mener à la création de consensus sous forme d’opinions.
- D’un côté (en bas), différents contextes peuvent intervenir.
- De l’autre (en haut), il peut y avoir des distorsions causées par différentes manipulations qui créent des dérapages.

Schéma 5 : les dimensions de l’information
Le processus ajoute une valeur à chaque étape. Il fonctionne par itération et utilise des techniques de synthèse et de schématisation. L’ensemble forme une pyramide à la fois en quantité et en qualité (schéma 14).
- Les données possèdent deux dimensions : 0 et 1.
- L’individu les convertit en information, qui possède quatre dimensions : son sujet, son objet, ainsi que l’espace et le temps lors de sa communication.
- Il y a connaissance lorsque l’individu établit une correspondance entre, d’une part, la conception qu’il a d’une réalité et, d’autre part, l’information dont il dispose sur cette réalité.
- La connaissance sert à créer des opinions ; les opinions sont les antichambres de l’action ; elles deviennent énergie.
Une information est une granulation d’une connaissance.
C’est en replaçant les données dans leur contexte que l’être humain peut créer des informations et, en donnant un sens à celles-ci, développer ses connaissances.
La connaissance s’acquiert par l’expérience, tout le reste n’est que de l’information.
Albert Einstein
L’abondance des données ne conduit pas toujours à une meilleure connaissance s’il n’y a pas un travail de synthèse qui donne à l’information une nouvelle valeur ajoutée à chaque étape (schéma 5).
Vous avez du courriel !
L’opinion devient un quatrième pouvoir.
(Plusieurs pensent que c’est plutôt le cinquième pouvoir, car le quatrième serait les médias de masse, les trois premiers étant le législatif, l’exécutif et le judiciaire).

Schéma 4 : la chaîne de l’information
Cette chaîne comprend différentes étapes de recherche de pertinence :
- Lorsque contextualisées, les données deviennent des informations, puis des connaissances.
- Le processus peut mener à la création de consensus sous forme d’opinions.
- D’un côté (en bas), différents contextes peuvent intervenir.
- De l’autre (en haut), il peut y avoir des distorsions causées par différentes manipulations qui créent des dérapages.

Schéma 5 : les dimensions de l’information
Le processus ajoute une valeur à chaque étape. Il fonctionne par itération et utilise des techniques de synthèse et de schématisation. L’ensemble forme une pyramide à la fois en quantité et en qualité (schéma 14).
- Les données possèdent deux dimensions : 0 et 1.
- L’individu les convertit en information, qui possède quatre dimensions : son sujet, son objet, ainsi que l’espace et le temps lors de sa communication.
- Il y a connaissance lorsque l’individu établit une correspondance entre, d’une part, la conception qu’il a d’une réalité et, d’autre part, l’information dont il dispose sur cette réalité.
- La connaissance sert à créer des opinions ; les opinions sont les antichambres de l’action ; elles deviennent énergie.
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